Le SUPAP-FSU, défend des modes d’accueil de qualité et pour cela :
– Des effectifs en nombre suffisant et des moyens matériels à la hauteur dans tous les établissements.
– Des professionnel-le-s formés et dont les qualifications sont reconnues par leur diplôme, sur leur fiche de paye et dans les fonctions exercées au sein des équipes.
– Le développement de la formation professionnelle tout au long de la carrière et la possibilité d’acquérir de nouveaux diplômes.
– La possibilité de se former hors du champ de la petite enfance afin de pouvoir choisir d’autres métiers… sans attendre de tomber malade.
– La refonte des formations d’auxiliaire de puériculture avec une formation reconnue niveau Bac.
– La reconnaissance complète du niveau bac plus 3 pour les EJE, les psychomotricien-ne-s et de vraies grilles de catégorie A pour les puériculteurs-trices et les infirmier-e-s.